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Idylle d’un nouveau jour…

« Quelque chose en toi, me pousse à t’aimer. Je ne sais pas pourquoi. Quelque chose qui relève de la bêtise, peut-être.

Je ne sais pas qui tu es vraiment et je ne le saurai peut-être jamais. Mais, cela faisait longtemps que je n’avais pas écrit quelque chose d’aussi beau, donc je suppose que ce sentiment est pur.

Cela faisait longtemps que je n’avais pas pensé à un homme, comme je pense à toi. Je sais que c’est impossible et ne t’inquiète pas, je t’oublierai.

J’ai appris à ne plus ressentir d’amour, à ne plus rêver de choses impossibles. Mais, pour une fois, je n’ai pas pleuré. J’espère que tu seras très heureux, car tu m’as rendue heureuse… »

Hélène contemplait sa feuille. Elle avait enfin fini d’écrire son histoire. Elle pensait à Joam. Cette histoire serait impossible, elle le savait. Il vivait à Barcelone, elle vivait en Guadeloupe et par intermittence, en Martinique. Cela n’aboutirait jamais. Les relations à distance, elle avait déjà connu ça. Des drames à répétition. Cela n’apportait rien de bon. En plus, il y avait quelque chose de pire encore et elle savait que ses parents à elle, ne l’accepteraient jamais, Joam était fiancé et le père de Joam avait toujours été très conservateur.

Ils s’étaient connus sur la belle île aux fleurs, sur cette magnifique plage, aux superbes cocotiers.

On ne brisait jamais un couple. Elle se devait de l’oublier, comme on oublie un être cher, qu’on ne cesse pourtant d’aimer…

Extrait de Myrna NEROVIQUE.

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Le soleil brille dans mon cœur…

Quand je regarde le ciel, qui brille de toute lumière, j’imagine ton cœur, qui s’intime dans le mien et le bonheur me rend belle et je ris et je pleure.

Les nuages sont époustouflés par le soleil, qui brille intensément, mais il y a une plus vive lueur. Celle qui brille dans mon cœur.

Je te souhaite beaucoup de bonheur, comme on souhaite à des personnes qui ont été heureuses, dans un ciel parsemé d’étoiles, mais ici, en pleine journée, le soleil brille dans mon cœur et je suis heureuse, car je suis amoureuse ...

Nérovique Myrna

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Apprendre à aimer sa vie est le meilleur des cadeaux…

Parfois, certaines personnes peuvent vouloir ce que l’autre a et se disent simplement que cette autre personne est meilleure, a de meilleurs attributs ( couleur de peau plus claire ou plus foncée, plus de diplômes, une meilleure carrière, un plus grand confort, de meilleures idées, de meilleurs attributs physiques, plus d’argent ou plus de talent que soi, et j’en passe…).

Mais, en fin de compte, personne ne connait le rêve de l’autre, quelles sont ses aspirations profondes.. Parfois, l’autre qui est admiré ou envié, n’aspire qu’à une vie simple et voit le propre reflet de votre admiration pour lui ou pour elle, quand il ou elle observe votre parcours.

Parfois, si cette personne pouvait, elle aurait peut-être tout lâché, pour devenir danseuse, chanteuse, sportive, écrivaine, artiste, voyager à travers le monde et j’en passe. Et, là, je parle que ce soit pour les hommes ou les femmes.

Car, parfois, on peut avoir beaucoup de biens matériels, mais désirer une seule chose, que l’on n’obtient jamais.

Et, parfois, c’est l’amour que l’on désire et c’est la seule chose que l’on n’aura jamais, pour de multiples raisons…Et, parfois, c’est ça le plus dur…

En conclusion, chaque vie est unique et chaque destin est différent… Apprendre à aimer sa vie est le plus beau des cadeaux…

NEROVIQUE Myrna

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Il faut savoir comprendre…

Il faut savoir comprendre, quand vous avez perdu votre bataille (en amour, au travail, ou dans d’autres projets), mais gagner votre guerre.

Et même des fois, quand vous perdez votre guerre et ça arrive souvent malheureusement, il faut savoir vous armer de courage, pour les autres batailles de votre vie. Après tout, vous n’êtes maîtres de rien.

Vous devez simplement continuer à lutter, jusqu’à votre dernier souffle et espérer…

NEROVIQUE Myrna

Elle regarda le soleil se lever…

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Voici une autre de mes poésies, que je vous laisse découvrir et qui se nomme « Elle regarda le soleil se lever ».

Elle regarda le soleil se lever,

Elle n’avait alors plus que ses yeux pour pleurer,

Nous étions bien le jour,

Où elle perdait son amour.

Il allait s’en aller,

Dans quelques heures, se marier,

Elle ne serait plus,

Qu’une délicieuse parvenue.

Il oublierait son corps,

Sans plus nul effort,

Il serait perdu,

Comme avant, elle le fut.

Elle regarda le soleil se lever

Et telle une trainée

Ne se sentit humaine

Que quand elle vit cette teigne…

NEROVIQUE Myrna

Quand je regarde tes yeux…

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Quand je regarde tes yeux,

Tu sembles bien amoureux,

Et, quand j’écoute ton cœur,

J’y lis vraiment le bonheur.

Et, alors qu’arrive la nuit,

Je pense à notre vie,

Nous ne serons jamais ensemble,

Et ainsi, mon cœur tremble.

Le bel éclat du soleil,

Me donne même sommeil,

Devant la ferveur de ton regard,

Qui me transperce comme un dard.

Et pourtant, je ne ris pas,

Je ne pense même plus à ça,

Je pense seulement à nos amours,

Qui je l’espère, dureront toujours…

NEROVIQUE Myrna.

Et, c’est mon cœur qui t’attend

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Et, c’est mon cœur qui t’attend

Mes pensées qui te réclament,

C’est mon regard qui ment,

Du plus profond de mon âme.

C’est mon cœur qui te sourit,

Dans le calme de la nuit,

Et mes larmes qui s’étalent,

Quand je regarde ma malle.

Je pense qu’au lointain,

Quand mes pensées reviennent soudain,

Que je rirai ce soir,

Seule devant mon miroir…

Je ne suis pas faite pour aimer,

Et encore moins pour être adorée,

Mais ces merveilleux souvenirs,

Éclaireront mon avenir…

Et, c’est mon cœur qui t’attend,

Et, c’est un doux tourment,

Ce sont mes sentiments qui volent,

Sur ma chair tendre et molle…

NEROVIQUE Myrna.

L’aube de la nuit…

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Bonjour, je m’appelle Myrna et dans ce blog, je vous délivrerai certains de mes poèmes, certaines de mes histoires et de mes citations. J’espère qu’ils seront à votre goût.

Mon rêve est de devenir, un jour, écrivaine, et j’aimerai savoir si au moins mes poèmes, mes histoires ou mes citations peuvent captiver ou être appréciés…

Le premier texte que je posterai sera une poésie, que j’ai écrite, et qui a été publiée dans le journal local de mon département, la Martinique: le France Antilles.

Je reste toute ouïe à vos appréciations et vos commentaires en espérant qu’elle vous plaira, tout de même…

Elle se nomme : « L’aube de la nuit »….

Coup de foudre sur Linkedin…

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Avez-vous toujours eu envie de plonger, dans des univers inexplorés, dans le domaine de la littérature? Ici, vous trouverez des poèmes , des histoires, des citations et j’espère que je vous ferai rentrer dans mon univers, que vous aimerez tout ce que j’aurai à vous faire découvrir…

Dans mon premier article, je vous déclinerai mon identité et vous présenterai ma première poésie…

Mais, tout en laissant planer le mystère, je vous présente mon premier texte. Bien sûr, il est fictif.  Mais, il pourrait s’adapter à n’importe qui.

Il s’intitule  » Coup de foudre sur Linkedin »…

Et, j’espère qu’il vous éclairera, et vous fera prendre conscience, de certaines choses dans la vie, qui je vous le rappelle, peut basculer à tout moment…

Coup de foudre sur linkedin…

Voici ma nouvelle histoire et j’espère qu’elle vous plaira…

Quand elle le vit pour la première fois, son cœur se mit à battre la chamade.
Elle se demanda alors pourquoi, avait-il fallu qu’elle le voie dans cette circonstance, qui défiait l’éthique, sur l’un des seuls réseaux sociaux, qui la mettrait en porte-à-faux… Elle s’appelait Enile: un prénom non conventionnel, pour une jeune fille aussi gracile et aussi claire que la neige.

Lui, il s’appelait Moïse, comme l’un des prophètes de la bible. Elle n’avait jamais vu un homme aussi beau, grand, avec de larges épaules, d’une minceur plus que fantasmante, en conservant tout de même, une belle musculature.

D’ordinaire, elle aimait les hommes d’une couleur chocolatée, mais lui, il avait une couleur gourmande et vanillée, et pourtant son cœur s’arrachait dans sa poitrine, quand elle observait ses photos.

Ce n’était pas n’importe qui. Il était célèbre. Mais, elle osa tout de même, lui envoyer une invitation. Seulement, quelle ne fut pas sa surprise, quand il lui répondit seulement, quelques heures plus tard.

Elle le remercia, de sa promptitude, de faire à présent partie de ses contacts professionnels, et comme réponse, il lui transmit ses coordonnées.

Leur première conversation fut sublime. La jeune Enile se sentit monter au septième ciel.

Et, le jeune homme l’invita à le recontacter, quand elle le voudrait. Ainsi une merveilleuse amitié put naître entre ces deux inconnus…

Et, peut-être un jour,cette amitié pourra, qui sait, aboutir, à la déclaration d’ Enile pour Moïse…

Tout ça pour vous dire ,que nous sommes tous des êtres humains. Ne laissons pas des normes, freiner nos relations humaines. L’amour et l’amitié, peuvent débarquer à n’importe quel moment. Il ne faut pas avoir peur de franchir le pas, malgré les conventions…

 

Et, si ça finissait comme ça!

Une perle dans mon jardin.

J’aimais admirer la lune et les étoiles, parfois la nuit.

J’aimais me complaire, dans une innocence que je ne connaissais plus. C’était quelque chose d’inouï. Espérer un passé qui ne reviendrait jamais. Pourtant, c’était ma vie. Un soir, j’ai trouvé cette perle, dans mon jardin et cette illusion de redevenir celle que j’étais, me prit soudain.

Je savais que cette perle était celle que ma famille cherchait depuis des générations et des générations, une perle aux pouvoirs magiques, qui permettait de rendre brillant et puissant, quiconque la possédait; cette perle perdue et recherchée par des générations de princes et de princesses.

J’étais la sixième princesse de la lune, la descendante d’une longue lignée de nobles, perdus de savoirs. Ma famille possédait le plus immense château, qu’on pouvait trouver dans le royaume et j’étais amenée à épouser le prince du Soleil, Donaton, dont le père, ce roi sans pitié, gouvernait le pays d’une dynastie d’assassins et de voleurs.

Pourtant, au royaume de la lune, nous étions vraiment tout ce qu’il y a de pacifique, et moi, Eloane, n’avais point le goût du combat et de la lutte. Je devais épouser, ce que j’imaginais être un sauvage, à l’aube de mes dix-sept ans. Je ne l’avais jamais vu . D’après ma mère, c’était un homme comme un autre. Mais, le fait de ne pas avoir mon opinion propre, me forçait à me poser d’intimes questions, à son égard…